samedi 23 janvier 2010

Chaud.

Titre alternatif: Les résultats d'une séance d'archéologie profonde dans les vestige d'une civilisation informatique ancienne. À savoir, un Acer Aspire 3680 qui à a peine assez de RAM pour booter son Vista de base.

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À mon amour, que j'aime plus que tout au monde

Ton sourire me fait fondre comme neige au soleil
Oiseau de mes jours, tu remplis ma vie de la douce mélodie qu'est l'amour
Invincible est le plus tendre des sentiments que je porte à ton égard

Paradisiaque est la vision de ton corps nu près du mien
Oasis d'ivresse dans le désert de mes désirs
Une seule étincelle de ton regard de miel sur moi
Réveille en moi l'amazone assoifée du nectar de la volupté

Ta peau brûlante des feux de l'amour attise mes désirs
On se touche, on se caresse, on se goûte, on se déguste
Une ascension vers le septième ciel, sur le dos d'un ange
Je ne pense plus, je ne vois plus, je n'entends plus que toi
On ne fait plus qu'un, de corps et d'esprit
Une seule personne, un seul coeur qui bat
Regarde-moi, fixe ces yeux suppliants
S'il te plaît, prends moi pour l'éternité

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Encore un article, et encore un samedi. Le Chéri dort, Bébé aussi. Grain en profite!)

En fouillant dans mon vieux portable tout pourri qui boot pas sans son power supply, j'ai retrouver ce poème auquel je tiens tout particulièrement.

Je l'ai écrit au Chéri quelque part dans nos deux premières années de fréquentation. Considérant que dans huit jours on entame la septième...ça date.

J'étais donc ben douée dans les poèmes cochons moé quand j'avais 16 ans..

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